Cette empreinte met en perspective les enjeux de la préservation des océans, ainsi que les solutions apportées par les entreprises en portefeuille pour réduire la pression exercée sur la biodiversité marine, notamment par le traitement des eaux de ballast et le recyclage plastique. Cette deuxième édition apporte de nouveaux éclairages sur l’impact du rejet des eaux usées et sur les conséquences de la surpêche sur la biodiversité marine.
Tout comme les forêts, les mers et les océans sont de véritables lieux de stockage du carbone, et absorbent un tiers des émissions de CO2 humaines. On estime que l’océan concentre 50 fois plus de carbone que l’atmosphère. Plus grand puits de carbone de la planète, les océans produisent également 50 % de l’oxygène que nous respirons. Il y a aujourd’hui quatre fois plus de zones océaniques mortes, sans oxygène qu’il y a 50 ans. 700 sites à travers le globe, souvent sur des côtes et dans des mers semi-fermées, souffrent de faible teneur en oxygène, contre 45 dans les années 1960.
Les océans détiennent par ailleurs une part essentielle de la valeur économique produite dans le monde. Si l’on s’intéresse au Produit marin brut (PMB) et que l’on compare la production des océans à celles des PIB nationaux, l’océan se place au 7e rang des pays les plus riches de la planète, entre le Royaume-Uni et le Brésil, avec 2 500 milliards de dollars générés chaque année. Préserver la biodiversité marine constitue donc un impératif écologique mais également un enjeu économique majeur.
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