Vous trouverez ci-dessous les principaux éléments ressortis de l’analyse du mois de novembre 2020 du secteur bancaire.
Le contexte actuel de taux d’intérêt bas agit comme soutien de long terme à la croissance. Cependant les banques voient logiquement leur rentabilité dégradée. En parallèle, depuis 2010 et les accords de Bâle III, les banques doivent être en mesure de justifier de leur solvabilité passant par un renforcement de la qualité des fonds propres, notamment avec le ratio CET1. Enfin, pour pallier le risque de liquidité, le Comité de Bâle intègre dans son dispositif de régulation la mise en place de deux ratios de liquidité : l’un à court terme (LCR) et l’autre à long terme (NSFR).
Montée en puissance des GAFAM et des fintech